SCC France : la transition écologique au cœur des JOP 2024

Depuis plus de 45 ans, SCC France aide entreprises et comptes publics à optimiser leurs investissements technologiques. Elle a été choisie comme partenaire par le comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques.

Les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 s’emparent de Grand Paris Sud !

En plus des 13 centres de préparation aux Jeux et des 8 centres pour les Jeux paralympiques, de nombreuses entreprises du territoire se distinguent par leur expertise.

Un exemple notable ?  SCC France (Lieusaint). Elle gérera l’approvisionnement en équipements informatiques et audiovisuels,ycompris certains produits des Partenaires TOP du CIO (Comité international olympique).

Elle assurera également les services d’acheminement, d’installation et de maintenance associés.  

Nous avons rencontré Dimitri Wlodarczyk, directeur logistique chez SCC France, pour en savoir plus.

Vous avez créé un site dédié sur votre plate-forme de Lieusaint qui existe depuis 2007. Pourquoi ?

Dimitri Wlodarczyk : « En effet, nous avons inauguré, le 14 juin dernier, un site de plus de 5 400 m2 comprenant divers espaces, tels que le stockage et la configuration du matériel, dans un environnement hautement sécurisé.

Ce site sera exclusivement dédié aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Il mobilise déjà plusieurs dizaines de collaborateurs.

 

Ce sont plus de 25 000 équipements qui y seront configurés, gérés, acheminés et récupérés pour être revalorisés.

Il est essentiel de préciser que ce site ne sera pas démonté à l’issue des JOP, mais mis à la disposition de nos clients.”

L’économie circulaire est notre priorité

Comment SCC France se prépare-t-elle à cet événement sportif mondial ?

Dimitri Wlodarczyk : « Nous participons à des tests-events (NDLR : compétition d’envergure en amont des JOP), comme une compétition de voile à Marseille début juillet ou encore le triathlon à Paris au mois d’août.

Bien que l’échelle soit plus réduite par rapport aux épreuves de l’été prochain, tout s’est très bien déroulé.

Nous confirmons donc la capacité de notre plateforme intégrée couvrant de bout en bout les besoins spécifiques du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 ».

Vous avez choisi de revaloriser tout le matériel utilisé pour les JOP Paris 2024, pourquoi ?

Dimitri Wlodarczyk : « Notre stratégie est prioritairement tournée vers la transition écologique. Tout le matériel sera remis en état et mis à disposition sur le marché. Les livraisons et retours se feront depuis Lieusaint. Le matériel sera recyclé par notre filiale RECYCLEA, entreprise adaptée où 70% des collaborateurs sont en situation de handicap ».

Membre du C-50 (le club des plus grandes entreprises de Grand Paris Sud), vous vous êtes engagé dans le projet AFEST (Action de formation en situation de travail) notamment pour un métier en tension, « Technicien de maintenance ». Pourquoi ?

Dimitri Wlodarczyk : « En effet, nous anticipons nos besoins de recrutement. C’est un métier complexe avec plusieurs milliers de procédures adaptées à nos clients. Nous recherchons des collaborateurs avec une sensibilité à l’informatique, pas des geeks, mais des personnes ayant une aisance avec les différents outils. Nous étudions la mise en place d’un système de parrainage pour les diplômés de niveau bac +2 en moyenne, afin que les anciens leur transmettent leur savoir ».  

Fidèle à une politique RSE, quelles actions avez-vous entreprises ?

Dimitri Wlodarczyk : « Nos actions sont variées, notamment en ce qui concerne la réduction du plastique. Nous avons réduit de 20 tonnes notre consommation annuelle.

Ceci a pu être atteint en changeant nos consommables :

Les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 s’emparent de Grand Paris Sud !

En plus des 13 centres de préparation aux Jeux et des 8 centres pour les Jeux paralympiques, de nombreuses entreprises du territoire se distinguent par leur expertise.

Un exemple notable ?  SCC France (Lieusaint). Elle gérera l’approvisionnement en équipements informatiques et audiovisuels,ycompris certains produits des Partenaires TOP du CIO (Comité international olympique).

Elle assurera également les services d’acheminement, d’installation et de maintenance associés.  

Nous avons rencontré Dimitri Wlodarczyk, directeur logistique chez SCC France, pour en savoir plus.

Vous avez créé un site dédié sur votre plate-forme de Lieusaint qui existe depuis 2007. Pourquoi ?

Dimitri Wlodarczyk : « En effet, nous avons inauguré, le 14 juin dernier, un site de plus de 5 400 m2 comprenant divers espaces, tels que le stockage et la configuration du matériel, dans un environnement hautement sécurisé.

Ce site sera exclusivement dédié aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Il mobilise déjà plusieurs dizaines de collaborateurs.

 

Ce sont plus de 25 000 équipements qui y seront configurés, gérés, acheminés et récupérés pour être revalorisés.

Il est essentiel de préciser que ce site ne sera pas démonté à l’issue des JOP, mais mis à la disposition de nos clients.”

L’économie circulaire est notre priorité

Comment SCC France se prépare-t-elle à cet événement sportif mondial ?

Dimitri Wlodarczyk : « Nous participons à des tests-events (NDLR : compétition d’envergure en amont des JOP), comme une compétition de voile à Marseille début juillet ou encore le triathlon à Paris au mois d’août.

Bien que l’échelle soit plus réduite par rapport aux épreuves de l’été prochain, tout s’est très bien déroulé.

Nous confirmons donc la capacité de notre plateforme intégrée couvrant de bout en bout les besoins spécifiques du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 ».

Vous avez choisi de revaloriser tout le matériel utilisé pour les JOP Paris 2024, pourquoi ?

Dimitri Wlodarczyk : « Notre stratégie est prioritairement tournée vers la transition écologique. Tout le matériel sera remis en état et mis à disposition sur le marché. Les livraisons et retours se feront depuis Lieusaint. Le matériel sera recyclé par notre filiale RECYCLEA, entreprise adaptée où 70% des collaborateurs sont en situation de handicap ».

Membre du C-50 (le club des plus grandes entreprises de Grand Paris Sud), vous vous êtes engagé dans le projet AFEST (Action de formation en situation de travail) notamment pour un métier en tension, « Technicien de maintenance ». Pourquoi ?

Dimitri Wlodarczyk : « En effet, nous anticipons nos besoins de recrutement. C’est un métier complexe avec plusieurs milliers de procédures adaptées à nos clients. Nous recherchons des collaborateurs avec une sensibilité à l’informatique, pas des geeks, mais des personnes ayant une aisance avec les différents outils. Nous étudions la mise en place d’un système de parrainage pour les diplômés de niveau bac +2 en moyenne, afin que les anciens leur transmettent leur savoir ».  

Fidèle à une politique RSE, quelles actions avez-vous entreprises ?

Dimitri Wlodarczyk : « Nos actions sont variées, notamment en ce qui concerne la réduction du plastique. Nous avons réduit de 20 tonnes notre consommation annuelle.

Ceci a pu être atteint en changeant nos consommables :

  • 95% de cartons recyclés,
  • utilisation de scotch kraft à colle végétale,
  • film de protection des palettes recyclé à 80%,
  • une flotte de camions roulant à l’OLEO 100 (colza),
  • des films faits à base de maïs pour les palettes,
  • et bien sûr nous collectons et recyclons tous nos déchets et dans certains cas, ceux de nos clients. »

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